Hésiter encore, prendre le temps, finir l'année ...
En commencer une autre !
Dés demain.
Images érotiques, où le corps s'affiche sans pudeur, ni retenue, dans son dépouillement originel, ou en se jouant des fantasmes jusque dans sa nudité la plus crue.
vendredi 31 décembre 2010
lundi 27 décembre 2010
vendredi 24 décembre 2010
mercredi 22 décembre 2010
lundi 20 décembre 2010
vendredi 17 décembre 2010
mercredi 15 décembre 2010
lundi 13 décembre 2010
vendredi 10 décembre 2010
lundi 6 décembre 2010
vendredi 3 décembre 2010
mercredi 1 décembre 2010
lundi 29 novembre 2010
vendredi 26 novembre 2010
lundi 22 novembre 2010
vendredi 19 novembre 2010
mercredi 17 novembre 2010
lundi 15 novembre 2010
vendredi 12 novembre 2010
MISS "YOU" .
Une histoire de l'œil, appelé à voir sous la peau ... Notons la présence discrète d'un hommage à Morandi.
mercredi 10 novembre 2010
MISS YOU.
Elle posait dans différents ateliers, des associations à caractères artistiques et quelques écoles d'art graphiques pour se payer un voyage aux États-Unis. Elle s'était présentée spontanément à notre atelier, elle démarchait les cours de dessins et de peintures mais nous n'en donnions pas. Par contre, je lui proposais de poser pour mes photos. Elle nous sembla si jeune qu'on lui a même demandé ses papiers. Elle allait envahir mes images. Elle jouait tous les jeux, à la condition de ne pas être érotiser, du moins à la prise de vue. Elle ne se serait jamais maquillée, portait volontiers un masque, rechignait à mettre des bas mais acceptait de garder ses chaussures. J'avais beau lui expliquer que "tout nu" porte en lui sa charge érotique, elle ne voulait rien savoir. Et que je l'érotise après coup par ordinateur lui était bien égal. Surtout elle voulait rester anonyme, d'autant plus en photo. Pourtant très à l'aise, elle me donnait sa nudité en toute confiance ; au milieu des œuvres et en présence de, voire avec, mon ami peintre dont je partageais l'atelier. On parlait beaucoup, surtout lui. Nos séances étaient très conviviales, elle s'arrangeait pour organiser ses heures de poses sur une journée ou deux. Elle arrivait de la campagne et parfois je l'hébergeais, ce qui lui économisait le coût d'un transport et j'aimais l'avoir à dîner. Mais elle n'a posé qu'une fois chez moi. Pour notre premier essai, j'avais préférer qu'on se découvre tranquillement à la maison, toutes les séances suivantes eurent lieu dans l'atelier. On l'avait adopté comme une petite sœur ... " Une petite sœur à poil ! " ... Elle hurla de rire quand je lui suggérais de se raser un peu le pubis ; " Nan ! ", elle était nature. Elle avait un coté baba qui ressemblait plus à nos vingt ans révolus, qu'à ceux qu'elle était en train de vivre, ce décalage nous rapprochait. Elle était téméraire et ne comptait que sur elle, toujours de bonne humeur. Travailler pour moi était assez récréatif et plus énergique, par rapport aux heures passées sans bouger pour les cours d'après modèle vivant ... Je m'étonne aujourd'hui d'en parler au passé, elle finit par partir aux Amériques, en revint et y repartit. Dans l'intervalle nous fîmes d'autres photos. J'utilise encore des images que j'ai fait d'elle, il est possible qu'un de ces jours j'en fasse de nouvelles, et cette idée me plait ...
Pour cette image je l'ai téléporté dans un autre atelier où je m'occupais surtout à m'autoportraiturer.
Pour cette image je l'ai téléporté dans un autre atelier où je m'occupais surtout à m'autoportraiturer.
lundi 8 novembre 2010
vendredi 5 novembre 2010
mardi 2 novembre 2010
lundi 1 novembre 2010
vendredi 29 octobre 2010
jeudi 28 octobre 2010
mardi 26 octobre 2010
lundi 25 octobre 2010
Avertissement ...
ceci n'est pas une campagne anti-tabac !
Je n'aurais jamais fait un autoportrait, en dessin ou photo, sans m'y présenter une clope au bec, ou une tige dans les doigts. Vers mes 25 ans j'avais toujours sur moi ; un paquet de gauloise brune (bleu), un paquet de Chesterfield longue ( blanc) et un paquet de Pall Mall longue (rouge) et toutes sans filtre.
J'ai arrêté il y a un peu plus de 3 ans du jour au lendemain, en m'appuyant sur la lecture du livre d'Allen Carr : " arrêter de fumer , c'est facile ". Je n'ai même pas terminer le bouquin, mais je connaissais la fin. Je n'ai jamais eu de manque, l'odeur de la fumée des autres ne me dérange pas, parfois même je trouve ça agréable et cela peut m'évoquer des amis ; des ambiances ... Sauf l'odeur du tabac froid qui me gênait déjà quand je fumais.
Quand j'ai fabriqué l'image ci-dessus, j'étais persuadé que jamais je n'abandonnerais mes petites cancéreuses, les non-fumeurs m'emmerdaient, m'agressaient, m'imposaient ; me gratifiaient d'une interdiction supplémentaire et je ne suis pas convaincu que ces millions de cigarettes fumées tous les jours nous polluent plus que ne l'on fait la B.P, Tchernobyl et autres conneries industrielles.
Ce que je craignais le plus c'est que le geste me manque ... Je l'ai oublié en 3 jours.
Aujourd'hui je me demande quel plaisir j'avais, quel besoin et pourquoi je m'y étais obligé ; bien entendu je sais qu'il ne faut surtout pas réessayer, même et surtout par jeu ou bravade, même pas une taffe car je sens que je suis encore et que je resterais à jamais le fumeur invétéré que j'ai été ...
Mais je n'en aie pas la tentation et ne la provoque pas !
Tout le monde me disait tu vas retrouver l'odorat, c'est vrai ; mais j'avais oublié à quel point le monde pue !
dimanche 24 octobre 2010
vendredi 22 octobre 2010
jeudi 21 octobre 2010
mercredi 20 octobre 2010
mardi 19 octobre 2010
lundi 18 octobre 2010
dimanche 17 octobre 2010
samedi 16 octobre 2010
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